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La rue de Paris et votre Argent !


La rue de Paris : une histoire sans fin, reflet de la politique d’urbanisme de Saint-Rémy lès Chevreuse depuis les années 2000.

Mais qui a pu prendre la décision de faire poser ces plots en granit le long de la rue Paris ?

Un peu d’histoire sur cette longue rue de Paris : qui se souvient du tollé soulevé lors de la refonte de cet axe passant qui relie Gif au centre-ville de Saint-Rémy ? 

Piste cyclable ou pas de piste cyclable sur une voie où les 80 km/h sont souvent dépassés et les dépassements “tolérés”, le projet final ne retiendra pas la création d’un couloir protégé pour les cyclistes, question de budget ou d’autorisation du département ? La ville du Tour de France où des centaines de vélos passent chaque week-end devra attendre, 10 ans, pour une piste cyclable (en sens unique) sur la rue Ditte, qui engorge tous les matins le centre-ville par la suppression du délestage Gare/Vaugien.

Au-delà de la polémique sur les places de parkings de la rue de Paris, (souvenez-vous des banderoles des riverains mécontents), il faut aussi noter le choix stratégique d’installer des “jardinières” enterrées en béton de 40 cm de profondeur sans évacuation d’eau, des cuvettes lorsqu’il pleut et de véritables prisons pour les plantes qui souhaitent s’y développer.

Souvenez-vous des charmilles qui ont disparu au fil des étés. Il suffisait peut-être lors des récents travaux de percer des ouvertures à travers le béton. Trop tard.

Mais revenons aux plots en granit, posés et retirés quelques semaines plus tard car mortifères pour les cyclistes et les motos, impitoyables pour les autres véhicules et anxiogènes pour les conducteurs : l’argent public coule à flot, de toute façon nous ne connaîtrons jamais le coût de cet aménagement éphémère et les décisionnaires pourront continuer à mener leurs projets sans aucune remise en question (comme celui de la rue Ditte).

Prochain épisode : 20 ans d'entretien de notre église et de son clocher.

Jean-Louis Binick, Sophie Minec et Floriane Varetta-Lonjaret.




Tribune sur la Ville à l'envers !


St-Rémy lès Chevreuse, la ville à l'envers !

 

Toujours davantage de grues et de béton dans notre ville, toujours plus de chantiers et de gêne au quotidien dans les déplacements (alors même que l'aménagement rue Ditte contribue largement à congestionner le trafic en centre-ville le matin avec des centaines de voitures en plus).

 

L'inquiétude est légitime au regard du constat des dernières années où tant de chantiers se sont faits à l'envers : le centre-ville subit régulièrement de graves inondations - on construit en pleine zone inondable sans autorisation préalable et on régularise après coup en creusant des bassines dans un parc public avec un financement privé.

 

La commune s’est engagée dans une révision de son Plan Local d'Urbanisme, le projet a été voté le 08/02/2024 en Conseil municipal par l’actuelle majorité et on organise après coup le 28/03/2024 une réunion publique pour détailler aux Saint-Rémois le contenu des Orientations d'Aménagement et de Programmation.

 

Surprise pour le public lors de cette réunion : il y aurait un besoin de 895 logements d'ici 2031, soit environ 60 logements par an, interrogé sur l'incohérence de ces chiffres, le présentateur a convenu qu'il fallait en effet rectifier par une moyenne de 120 logements par an ! Comment faire confiance ?

 

On nous répète que la construction de la barre I3F sur Beauplan en 2014 aurait évité l’actuel arrêté préfectoral de carence qui donne un droit de préemption au préfet et double l’amende SRU. Faux.

A noter : 3 nouveaux récents départs de conseillers de la majorité (soit 6 depuis 2020) dont 2 qui n’ont pas voté le PLU. Après l’arrivée d’un nouveau conseiller de remplacement, la liste des 31 personnes de 2020 est donc épuisée.   

 

Les recours en contentieux s'additionnent. N'acceptons pas que notre ville soit défigurée par la destruction de zones naturelles, par la réalisation de programmes immobiliers déraisonnables (140 logements en front de gare, 90 dans le Domaine de Chevincourt et 20 sur le Terrain des Sœurs).


Une nouvelle procédure ...



Tribune Libre d'avril 2024 (la bétonisation peut commencer officiellement avec le nouveau PLU validé par la majorité municipale)


Extrait de l’intervention des élus de l’opposition au Conseil Municipal du 08/02/2024

 

La révision du PLU s'est faite sans concertation avec les Saint-Rémois. 

 

Aucun atelier sur les Opérations d’Aménagement Programmées (Domaine de Chevincourt, Terrain des Sœurs, Secteur Gare). Ce constat a été fait par le Commissaire-Enquêteur lui-même.

 

Les demandes des associations ont été largement rejetées, même lorsqu'elles étaient appuyées par les recommandations de la Mission Régionale d’Autorité Environnementale.

 

Les choix effectués sont ceux d’une équipe majoritaire en place qui n'a pas cherché à faire émerger une vision partagée par les St-Rémois. Avec ce PLU, elle va engager notre ville dans une croissance démographique et immobilière déraisonnée et non voulue par une grande majorité des Saint-Rémois !

 

Oui, nous sommes en carence de logements sociaux et nous sommes même premiers au palmarès. Mais ce n’est pas en construisant des ensembles immobiliers avec 40% de logements sociaux que nous rattraperons notre retard. La solution retenue aboutira à la BÉTONISATION de notre commune, avec plus de voitures, plus d’embouteillages, plus de pollution, …

 

Alors que d’autres villes font des choix différents comme par exemple Rambouillet : 

 

“Limiter la hauteur des constructions, ce sera 13 mètres maximum” : à St-Rémy, on fait l’inverse, on augmente les hauteurs autorisées jusqu’à 15 mètres.

 

“Garder les arbres” : Rambouillet a lancé, avec l’ONF, un recensement des arbres à préserver; à St-Rémy, on refuse de prendre en compte le travail des associations qui ont recensé les arbres remarquables de notre commune et qui en demandent la protection.

 

«Nous envisageons de geler les constructions, le temps de construire un projet global. Cela n’a aucun sens de densifier maintenant, alors qu’il est prévu un aménagement complet du pôle gare de Rambouillet» ; à St-Rémy, à l’inverse, on se précipite, on fait voter une OAP en dehors de tout projet global d’aménagement du pôle gare.

S. Minec

F. Varetta

J.L. Binick

 


Notre Tribune sur le vote du nouveau PLU (le 8 février 2024) & ses OAP très contestées ...


Une tribune réduite d’environ 400 caractères à notre initiative, pour vous rappeler symboliquement que la démocratie locale est bien malade dans notre ville.

 

En solidarité avec les 1.098 signataires de la pétition “Non au Projet de Révision du PLU de Saint-Rémy-lès-Chevreuse”, avec les associations saint-rémoises et les associations yvelinoises de défense et de protection de l’environnement et du patrimoine, avec les organismes publics et tous ceux qui ont dénoncé les incohérences, les erreurs, les dangers et les manques de ce nouveau PLU principalement autour des OAP de Chevincourt (90 logements, permis de construire instruit ou en fin d’instruction - opacité totale avant la prochaine commission d’urbanisme), OAP du “Terrain des Sœurs” (destruction programmée d’un écrin de verdure, en accord avec la Région Île de France et son agence l’EPFIF sans aucune concertation avec la population) et de l’OAP du “Front de Gare” (bétonisation homogène avec des immeubles potentiellement hauts de 15 mètres).

 

Nous, élu(e)s d’opposition, voterons contre ce nouveau PLU et nous nous associerons à tous les recours juridiques qui ne manqueront pas d’être déposés, très rapidement, dès l’adoption et le vote par la majorité municipale, de ce PLU dangereux pour notre cadre de vie et inapproprié pour notre ville.

 

En vous rappelant que nous n’avons toujours pas d’accès libre en mairie, pas de local à notre disposition en tant qu’élu(e)s d’opposition et que nos 3 boîtes aux lettres d’élu(e)s sont toujours ostracisées au rez-de-chaussée de la mairie.

Sophie Minec

Floriane Varetta

Jean-Louis Binick

Vos élus Saint-Rémy Toujours


Le Préfet des Yvelines prend la main sur les futures constructions : un arrêté de carence est promulgué, à lire dans le détail : surtout le déconventionnement des 213 logements "sociaux" d'ORPEA



2002, 2008, 2017, 2020 ... voilà le résultat d'une politique en matière d'urbanisme incontrôlée de plus de 20 ans et sans réelle stratégie ...

-410% sur l'objectif triennal en matière de logement social, le + mauvais score dans les Yvelines (voir article du Figaro : https://immobilier.lefigaro.fr/.../quotas-de-hlm-le-top.../ )

Le montage des 213 logements sociaux (déconventionnement en 2020 mais annoncé en 2013) d'ORPEA s'écroule ...


La Censure est en marche à Saint-Rémy : un déni de démocratie en plein conseil municipal


Monsieur le Préfet des Yvelines,

Conformément à l'article L. 2121-19 du CGCT, en séance du conseil municipal, les conseillers municipaux ont le droit, au-delà des points soumis à l'ordre du jour, d'exposer au maire des questions orales.

Malgré leur dénomination de « questions orales », ces interpellations sont en fait généralement soumises à un dépôt préalable par écrit afin de laisser au maire et à ses services le temps de recueillir les éléments de réponse.

Ces questions sont l'occasion pour les conseillers municipaux de disposer d'informations dont ils sont privés en n'étant pas membres de l'exécutif : demandes de chiffres, d'explications sur le sens d'une décision ou de précisions sur un projet, voire même une rumeur. Elles sont aussi l'occasion de se faire le relais de demandes d'administrés ou de groupes de riverains.

En nos qualités d’élu(e)s de l’opposition au sein du conseil municipal de la commune de Saint-Rémy-lès-Chevreuse, nous avons donc remis en main propre, le 20 novembre 2023, contre signature (voir pièce jointe) au secrétariat du maire, notre liste de questions dans le délai légal 48 heures avant la séance du conseil municipal prévue le 23 novembre 2023 à 20h00.

Malheureusement, Monsieur le Maire a refusé de lire nos questions orales, faisant lire à leur place un communiqué par un de ses adjoints, détaillant principalement les raisons de ce refus sur : « un trop grand nombre de questions (1) et d'une trop grande complexité (2) ” et également sur “une récurrence de certaines questions” (3) et nos “absences aux commissions municipales” (4) »

Sur les points (1) & (2) : aucune limite en nombre de questions n’est précisée dans le règlement intérieur du conseil municipal de la commune de Saint-Rémy-lès-Chevreuse. L’intérêt des ces questions sur lesquelles nous travaillons avec des associations et des collectifs d'administrés est justement la complexité des dossiers sur lesquelles elles portent et pour lesquels le maire nous refusent également le droit de poser des questions, lors des séances de questions diverses, en fin de chaque conseil municipal,

sur le point (3) : la récurrence des questions, l’adjoint est toujour hors-sujet, cette excuse est irrecevable, car contraire au règlement intérieur et surtout injustifiée car les questions 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15 & 16 n’ont jamais été posées dans les précédentes questions orales déposées,

sur le point (4) : l’adjoint était encore hors sujet, nos absences à certaines commissions municipales, qui restent facultatives, sont motivées par une exclusion totale de l’opposition des réunions de travail en amont, aucun document n’est transmis avant les commissions, et aucun document n’est donné à la fin de ces commissions par peur de communication extérieure avant le conseil municipal. Les photos sont également interdites. Les avis donnés lors de ces commissions “d’information” et non de “concertation”, sont pré établis avant les séances Il s’agit seulement d’une formalité d’enregistrement.

En conséquence, nous vous demandons, Monsieur le Préfet, de faire respecter nos droits d’élus de la République et d’opposition municipale à Saint-Rémy-lès-Chevreuse et d’imposer une intégration de ces questions à l’ordre du jour du prochain conseil municipal.

En espérant la bonne prise en compte de la présente demande officielle, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Préfet, l’expression de nos salutations distinguées.

Les élu(e)s de l’opposition,

Jean-Louis Binick

Sophie Minec

Floriane Varetta-Lonjaret


Nos questions orales censurées par le Maire lors du dernier Conseil Municipal du 23/11/2023


La campagne de 2020 : tout se réalise inexorablement !




Ecole Jean Jaurès : 87.000 € de Chiffres d'Affaires pour un marché de 840.000 € : incompétence ou négligence ?



Questions Orales posées le 21 septembre 2023 au Conseil Municipal



Incompétence avérée ...



Les Questions Orales de Saint-Rémy Toujours au Conseil Municipal du 16 mars 2023



Notre intervention à la Manifestation du 21 janvier 2023 pour défendre notre Cadre de Vie


NOTRE INTERVENTION LORS LA MANIFESTATION DU 21/01/2023 ORGANISÉE PAR LES COLLECTIFS COEUR DE VILLE & PRÉSERVONS LAC DE BEAUSÉJOUR.

 

2014 : le conseil municipal de l’époque adopte, quelques semaines avant les élections, une délibération attribuant l’appel d’offres “Coeur de Ville” à l’actuel promoteur. Un conseiller municipal d'opposition s’inquiète du montage financier avec le laboratoire d’analyses qui doit céder son bâti à la ville. Fin mars 2014, la majorité sortante perd les élections, la promesse de vente du laboratoire est retirée par ses propriétaires, le projet s’arrête.

 

2017/2018 : les élus à l’initiative du “Coeur de Ville” en 2014 reviennent aux manettes, la délibération ressortie des cartons et le projet (sans le montage du laboratoire) peut redémarrer sans aucune prise en compte de l’inondation de 2016 (et sans anticiper celle de 2018), “les parkings souterrains serviront de bassins de rétention en cas de problème” nous indique-t-on.

 

2019/2020 : malgré plusieurs mises en garde sur des manquements concernant le dossier sur la transparence hydraulique et la loi sur l’eau, le maire autorise le démarrage du chantier en août 2020.

 

2021/2022 : fin 2021, la préfecture s’oppose au projet en cours, le dossier Loi sur l’eau n’étant toujours pas conforme. Des compléments sont apportés, mais il faudra attendre juillet 2022 pour que la ville, le promoteur et la préfecture tombent d’accord sur des compensations hydrauliques. 

Sous le couvert d’un projet de renaturation des berges de l’Yvette, une délibération (sa demande d’annulation à laquelle nous avons participé, est toujours en instruction alors que les travaux ont commencé) autorise le promoteur (via le SIAHVY) à transformer le parking du C3R et le Jardin Public en bassins de rétention : d’où l’abattage des marronniers centenaires. Entre-temps, un Collectif s’est formé déposant 5 recours au Tribunal Administratif de Versailles et une plainte a été introduite au pénal au Tribunal de Nanterre.

 

Orateur : JEAN-LOUIS BINICK

 


Les Nouvelles de Saint-Rémy


Comme le rappelle un ami journaliste : les faits, rien que les faits. Voici des informations sur ce qui se passe en ville :

 

  • Le Président du Sénat, à l’approche des élections sénatoriales de 2023, est venu rendre visite à notre conseil municipal avec 3 sénateurs et sénatrices des Yvelines. Une réunion cordiale et enrichissante,  interrompue par une délégation du Collectif Cœur de Ville accompagnée d’un journaliste du Canard Enchaîné. Ils ont été reçus par M. Larcher et ont pu ainsi exposer leur point de vue.
  • La Présidente de la Région Ile de France est venue donner son aval pour la construction de la Maison du PNR sur le “Terrain des Soeurs”. Implantation décidée par le maire sans concertation.
  • Un test avec un marquage et des plots provisoires devrait être réalisé “rue Ditte” intégrant la création d'une piste cyclable entre l’EJR et le rond-point de Vaugien. Une mise en sens unique de Gif/Centre-Ville sera testée avec évaluation des impacts de cet aménagement grâce à des comptages.
  • Les travaux de réhabilitation de l'école Jean Jaurès vont pouvoir commencer, dès que les prestataires seront choisis.
  • Les scénarios concernant l’avenir du lac de Beauséjour devraient être connus d’ici la fin de l’année 2022.
  • Les chantiers de la “rue de Paris” suivent leurs cours : au 90, projet avancé de maisons mitoyennes en briques dans lequel la grande cheminée a été conservée ; démarrage annoncé au 106/108. 
  • Une bévue juridique autour de la suppléante du député nous a conduit à revoter les 2 & 9 octobre. Nos élus ont aidé l’équipe majoritaire pour cette élection à forte abstention. M. Barrot a été réélu avec une nouvelle suppléante.
  • Les travaux préparatoires autour du C3R et du Jardin public ont commencé, sans attendre le résultat des requêtes en excès de pouvoir au Tribunal Administratif. Une quinzaine d’arbres a été abattue. 
  • Dernière minute : un agent municipal a dû quitter son logement de fonction, juste avant la trêve hivernale, sans solution alternative. (il dormirait dans sa camionnette avec son chien)

L'équipe SRT 2020


A regarder sans modération !


Le Monde Merveilleux de Saint-Rémy !


 

Bienvenue dans le monde merveilleux de St-Rémy-lès-Chevreuse !

 

Un monde où tout va bien.

 

Un monde où les rues et les trottoirs sont minutieusement entretenus, pas d’herbes folles ou de détritus.

 

Un monde  où les piétons sont rois, sans crainte de se faire happer par un véhicule ou une trottinette électrique.

 

Un monde où les immeubles ne poussent pas comme des champignons et où la loi est toujours respectée afin d’éviter de coûteux recours ou procès,

 

Un monde où les contraintes environnementales sont toujours au cœur des projets immobiliers afin de limiter l’urbanisation à outrance tout, en évitant ainsi de nouvelles inondations catastrophiques.

 

Un monde avec des équipements publics flambants neufs, respectant les nouvelles normes écologiques et ne mettant pas à mal les finances de la ville.

 

Un monde où les alliances politiques de circonstance ne cachent pas un opportunisme personnel et ne servent qu’à l’objectif de bien gérer notre commune et où chaque élu est respecté pendant toute la durée de son mandat. 

 

Un monde merveilleux où tous les agents municipaux s’épanouissent, dans une ambiance studieuse et bienveillante.

 

Un monde où l’opposition critique voire complotiste ne peut que constater lors des commissions que tout le travail et toutes les décisions ont déjà été prises, sans concertation, mais toujours  dans le bon sens, alors pourquoi les contester ?

 

Un monde merveilleux où l’opposition mise à l’écart de l’hôtel de ville sans accès libre à ses boîtes aux lettres (non sécurisées) ne sert à rien puisque tout va bien.

 

Un monde où les habitants d’un quartier ne s’inquiéteraient pas de l’hypothétique disparition d’un lac et les autres de l’éventuelle submersion de leurs propriétés.

 

Un monde parfait que nous devons quitter pour revenir au monde réel où une “requête en excès de pouvoir” demande l’annulation de la délibération autorisant l’utilisation de parcelles publiques par un opérateur privé (promoteur) a été récemment déposée au Tribunal Administratif. 

 

L’équipe SRT

Jean-Louis Binick, Sophie Minec & Floriane Varetta-Lonjaret


Tribune de mai 2022 : "Le Coeur de Ville" (épisode IV)


Saviez-vous que le projet Cœur de Ville augmente directement les risques de crues dans la commune ? A cause de lui, l’Yvette et le Rhodon inonderont plus souvent les Saint-Rémois, et pas seulement les riverains immédiats du projet : ces constructions obligent les cours d’eau à déborder plus loin.

 

Pour limiter ce risque, le promoteur Nacarat doit compenser le volume pris par les immeubles en créant des zones d’expansion de crues en amont du projet. Nacarat indique dans son dossier “Loi sur l’Eau”, déposé en préfecture et non validé à ce jour, devoir compenser 7.650m3.

 

Bientôt 2 ans après le démarrage des travaux et 2 rappels à l’ordre du Préfet, l’équipe majoritaire et le SIAHVY ont choisi d’aider le promoteur à résoudre cette problématique de compensation indispensable à l’opération Cœur de Ville.

 

Ils ont tout d’abord mandaté un nouveau bureau d’études qui a réévalué le volume à compenser à 4.650m3. Magique, - 40% !

 

Une délibération a été votée par le conseil municipal pour la mise à disposition du SIAHVY de parcelles communales : le jardin public près de l’église, l’ancien restaurant scolaire et le parking du C3R qui va être décaissé. Charge au SIAHVY de réaliser ces zones d’expansion de crues financées par Nacarat. Voulez-vous d’un parc et d’un parking régulièrement impraticables ?

 

Le patrimoine de la commune sera donc utilisé pour que le promoteur privé compense en partie, les risques de crues créés par son projet. Cela aussi c’est magique ! Pourquoi ne pas y avoir pensé avant ?

Et tous ces efforts pour rien, car ces parcelles ne permettent pas même d'atteindre le volume réduit de 4.650m3 ! De plus, rien n'est prévu en amont sur le Rhodon, malgré les demandes de la préfecture !

 

Cerise sur le gâteau, la phase 2 du projet (parking fermé de l’ex-CCAS & Ecole de Musique) qui comporte notamment une maison médicale, une supérette et une brasserie, est reportée. Que nous apporte ce projet sinon des ennuis ?

 

Sur ce dossier comme sur celui du Lac de Beauséjour, aurez-vous votre mot à dire ?

 

SRT2020


Tribune de mars 2022 : "La Ville des Collectifs ?"



Tribune de janvier 2022 !

L’histoire se répéterait-elle à Saint-Rémy ?

Qui, à part nos aînés, se souvient du projet du Prieuré ? Permis de construire dénoncé, arrêt des travaux.

 

Nous avons, depuis 30 ans, des maires bâtisseurs, pour le bien de la communauté, comme on nous l’a maintes fois répété lors d’une insipide réunion publique de concertation où les projets structurants ont été habilement occultés : l’avenir du lac, l’extension de l’EJR avec son école de musique, l'aménagement du Pôle Gare.

 

Mais nous avons appris une chose,

Le litige qui oppose le promoteur du projet Cœur de Ville aux Services de l’Etat, à propos des parkings souterrains qui ne respectent pas la réglementation environnementale, n’est pas de la responsabilité de la Ville et de son 1er magistrat !

 

Le chantier qui continue ? On a compris que ce n’est pas du ressort des services municipaux, le permis de construire a été accepté en 2019 par la Préfecture, et si le promoteur n’a pas rempli ses obligations vis-à-vis de la Police de l’Eau, c’est son problème. 

 

Le risque d’aggravation des inondations à cause des parkings, en cas de crue, mentionné dans l’arrêté préfectoral, c’est aussi son problème.

Sauf que, revenons en arrière.

 

Le projet initial de 2014 est ressorti des cartons en 2018 quasi à l’identique (sans le laboratoire médical mystérieusement disparu) : les inondations étaient pourtant passées par là en 2016 et 2018, mais pour aller vite, car modifier le projet en conséquence aurait nécessité de refaire un appel d’offres pour rechoisir un promoteur et un architecte : cela voulait dire rien de concret politiquement avant mars 2020, la dangerosité d’inclure des parkings souterrains a été laissée de côté, les promesses de vente sur la base d’un permis de construire inadapté et d’une délibération obsolète ont pu être ainsi bouclées rapidement avec le même promoteur.

 

Dernière minute : une demande de retrait du permis de construire a été faite par un collectif de riverains qui estime que le permis a été obtenu de façon frauduleuse !  


Immeubles Cœur de Ville : le permis de construire sera t-il jugé comme "frauduleux" et annulé ? Une affaire sans fin ...


 

Un collectif d'une vingtaine de riverains du projet Cœur de Ville demande à la commune de Saint-Rémy lès Chevreuse, via une procédure juridique, le retrait pur et simple du permis de construire en raison de son obtention par fraude et met en demeure le maire de prendre un arrêté interruptif de travaux !

 

Affaire à suivre ...


La Tribune (encore) libre de Novembre 2021


 

 

Un rapide tour d’horizon de l’urbanisation rampante de notre ville, la cité aux parkings souterrains inondables !

 

Rue de Paris,

Après le projet remarqué du 132, juste en face au 143, et après plusieurs ajustements du permis de construire : les arbres ont été coupés, le bétonnage peut commencer.

 

 

Au 106/108, le projet initial du 106 avec un permis de construire retoqué va pouvoir démarrer sur une parcelle pouvant recevoir 50 logements.

 

Au 90, un magnifique terrain boisé avec une cheminée de briques rouges, les bulldozers ont fait leur travail, permis de construire à découvrir …

 

Rue Chesneau,

Au 19, le promoteur du projet Cœur de Ville, a eu gain de cause avec des parkings souterrains comme au 20/22 juste en face : la source naturelle et les inondations catastrophiques de 2016 ? Occultées.

 

Rue des Ecoles,

Un arrêté préfectoral a relevé de nombreuses infractions à la Loi sur l’eau et a demandé l’arrêt des travaux : en cause, l’irresponsabilité des initiateurs de ce projet face aux risques d’inondations avec des parkings souterrains qui, "auront en cas de crue, comme effet d’augmenter la vulnérabilité de la commune”.

 

Terrain des Soeurs, rue de la République (en face de l’ancienne Poste rasée en 2013), Quartier de la Gare, Domaine de Chevincourt (85 logements) : projets à l’étude.

 

Un peu d’arithmétique, on entend beaucoup dans les commissions et au conseil municipal : "faut-il construire une nouvelle école (publique) ou financer la sauvegarde du lac dans son état sans aucune subvention ?”

 

C’est vrai les finances de la ville ont été sollicitées depuis 2018, il a fallu continuer à payer le complexe sportif (6 M€), financer la rue Lamartine (3 M€), co-financer le superbe nouveau centre de loisirs (5 M€ hors subventions), démarrer la rénovation de l’école Jean Jaurès (2 M€) et surtout imaginer un nouvel Espace Jean Racine avec une école de musique associative pour plus de 3 M€.

 

Une nouvelle école ou un lac ? Les Saint-Rémois pourront-ils choisir ? 

 

Vos élus d’opposition

PS : départ n° 24 au service scolaire 


Notre Ville fait la une du Parisien 78 !




En réponse à LORA et à son étonnement feint : “Nous sommes très étonnés du ton employé par les élus de la minorité municipale qui…critiquent sans faire la moindre proposition ou participation à la vie communale”

 

Il nous semble important d’éclairer le contexte dans lequel nous évoluons :

 

  • accès interdit en mairie et aux services de la ville hors horaires publics,
  • interdiction formelle aux agents de communiquer avec nous,
  • suppression en 2020 du bureau mis à disposition en 2017 (avec l’ex SREM),
  • relégation de nos boîtes aux lettres d’élus dans des casiers non sécurisés à l'accueil de l'hôtel de ville,
  • exclusion des réunions préliminaires de travail en amont des commissions (finances, urbanisme, ...),
  • absence de comptes rendus ou de documents en amont et en fin de ces commissions.

Comment participer lorsque nous découvrons, comme nos administrés, des décisions déjà prises ?

 

  • avons-nous été informés des conclusions de l’étude du SIAHVY concernant la fragilité de la digue du Lac de Beauséjour : NON
  • avons-nous été conviés à la réunion publique avec les riverains : NON
  • nous a-t-on présenté les deux scénarios techniques et financiers envisagés avant la fin de l’année 2021 : NON

Lors de la dernière commission urbanisme du lundi 22 juin 2021, des ateliers autour de la révision du PLU ont été annoncés pour le mercredi après-midi suivant, précipitamment et sans communication préalable pour être finalement reportés à la rentrée avec nombre ridicule de participants (40 au total).

 

Pour conclure : aucune réunion de travail, aucun contact direct avec les agents en tant qu’élu, voilà la démocratie participative dans notre ville de Saint-Rémy-lès-Chevreuse.

 

Vos élus d’opposition

Sophie Minec, Floriane Varetta-Lonjaret, Jean-Louis Binick

 

PS : après avoir évité une censure de notre dernière tribune grâce à l’envoi d’un texte de loi, une mise à jour des départs des agents depuis 2018. Nous passons de 20 à 24 départs (+1 Services Techniques, +1 RH et +2 Scolaire Enfance), le turnover frôle les 30%


 Une nouvelle tribune, qui traite d’un sujet tout aussi sérieux que le béton qui envahit notre ville : nos agents municipaux.

 

Vous trouverez ci-dessous la liste non-nominative des agents qui ont quitté les services de la ville depuis fin 2017. Seul le service est mentionné pour des raisons de confidentialité.

 

Précisons également qu’aux dires de l’équipe majoritaire (voir PV des conseils municipaux), “beaucoup ont souhaité partir pour parfaire leurs carrières d’agents territoriaux et que dans tous les cas, le bien-être des employés municipaux est et restera la priorité de cette mandature”.

 

Les astérisques* concernent des agents recrutés à partir de janvier 2018 et qui pour des raisons personnelles n’ont pas souhaité poursuivre l’expérience. Les chiffres 1 et 2 sont utilisés lorsque deux personnes ont quitté le même service :

 

  1. Direction des services techniques 1
  2. Direction des services techniques* 2
  3. Cadre service urbanisme*
  4. Service urbanisme 1
  5. Service urbanisme 2*
  6. Service espaces verts
  7. Service espace public
  8. Service état-civil
  9. Administration générale & finances
  10. Vie associative
  11. Direction petite enfance
  12. Service petite enfance
  13. Direction relais assistantes maternelles
  14. Service comptable
  15. Service scolaire
  16. Direction centres de loisirs*
  17. Centre de loisirs 1
  18. Centre de loisirs 2
  19. Espace Jean Racine*
  20. Service culturel*

 

Pourquoi cette énumération ? Parce que cette longue liste nous questionne et qu’il est de notre responsabilité de vous en informer. Si nous ne le faisons pas, qui le fera ?

 

Pour conclure, un hommage appuyé et sincère à un élu, adjoint au maire avec qui nous n’avons pas toujours été d’accord et qui a quitté l’équipe majoritaire, sans bruit et sans esclandre et pour nous conseillers municipaux de l’opposition : sans explication officielle, pourtant réclamée en conseil municipal. Après 20 ans de bons et loyaux services dans plusieurs mandatures, un dévouement sans faille, il a jeté l’éponge discrètement. C’est peut-être son franc-parler qui l’a obligé à partir. Merci cher élu pour votre travail.

 

Sophie Minec

Floriane Varetta Lonjaret

Jean-Louis Binick

Vos élu(e)s Saint-Rémy Toujours 2020

 

 PS : depuis la publication de cette tribune, deux nouveaux départs ... Services Techniques & Services RH, "pour le bien-être de leurs carrières" après quelques mois passés à Saint-Rémy-lès-Chevreuse !!! Le compteur passe donc à 22.

 

 

 


Un sujet sérieux soulevé avec humour : le bétonnage de Saint-Rémy-lès-Chevreuse


 

 

Une Tribune “Libre” dédiée aux habitants de la rue de Paris, de la rue de Versailles, de la rue Chesneau, de la rue de la République, de la rue Saint-Paul, de la rue des Écoles, de l’avenue Thérèse, de  l’avenue du Général Leclerc et de bien d’autres rues, avenues ou impasses ...

 

C'était un joli village

Qui fleurait bon la verdure

Qui fleurait bon la Vallée de Chevreuse

 

C'était un joli village

Avec plein de tables et de chaises de jardin

Avec des arbres, des tilleuls, des platanes et des saules pleureurs

Au fond d'une impasse dans la Vallée de Chevreuse

Mais un jour dans le joli village

Passèrent des hommes qui, au revers de leurs costumes,

Portaient des badges de béton

Dans le joli village plusieurs voix tentèrent

S’il vous plaît, s’il vous plaît,  Messieurs les promoteurs

S’il vous plaît, s’il vous plaît, ne coupez pas tous nos arbres

C'était un joli village

Avec des mésanges bleues dans ses tilleuls

Avec un homme courbé faisant son potager

Au fond d'une impasse dans la Vallée de Chevreuse

Mais un jour dans le joli village

Passèrent des hommes qui, au revers de leurs costumes,

Portaient des badges de béton

Dans le joli village plusieurs voix tentèrent

S’il vous plaît, s’il vous plaît,  Messieurs les promoteurs

S’il vous plaît, s’il vous plaît, ne coupez pas nos arbres

C'était un joli village

Qui fleurait bon la verdure

À la place du potager

Il y a l'entrée d'un parking souterrain

Où sont rangées comme des sardines

Les voitures attendant une prochaine crue

C'était un joli village

Avec plein de tables et de chaises de jardin

Avec des arbres, des tilleuls, des platanes et des saules pleureurs

Au fond d'une impasse dans la Vallée de Chevreuse

Où sont passés les tables et les chaises de jardin, les tilleuls, les platanes et les saules pleureurs ?

C'était un joli village

au fond de la belle Vallée de Chevreuse

L’équipe de Saint-Rémy Toujours 2020

Sophie Minec, Floriane Varetta Lonjaret et Jean-Louis Binick

Facebook : @saintremytoujours - Twitter : @SRTen2020

Web : www.saintremytoujours.fr


Proposer, Constater, Dénoncer ...


Un Groupe d’opposition à l’échelon local a 3 missions :

 

Proposer : à Saint-Rémy-lès-Chevreuse, c’est très compliqué. La consultation des dossiers concernant les projets structurants est difficile, lorsqu’on n’a pas d’accès libre en mairie et des horaires restreints pour accéder aux boîtes aux lettres.

 

Constater : plus simple mais tellement frustrant. Les projets immobiliers fleurissent un peu partout, rue de Paris, rue Chesneau, rue de Versailles, les immeubles du Cœur de Ville. Des équipements publics comme le futur Centre de Loisirs ou des bâtiments comme l’école Jean Jaurès ou l’Espace Jean Racine sont restructurés sans vraie concertation ! Alors que de nouvelles politiques environnementales préservant la nature se développent par ailleurs, à Saint-Rémy une déviation (étude de faisabilité en cours) pourrait traverser le Terrain des Sœurs, potentiellement “agrémenté” de maisons de ville, pour déboucher rue Ditte. Le capital environnemental semble bien compromis, et le capital humain, celui des agents municipaux, ne semble pas non plus épargné : l’opacité totale règne à nouveau.

 

Dénoncer : le manque de co-construction autour d’une stratégie intelligente de réhabilitation des écoles. La mairie mobilise un budget important pour la rénovation de l'école Jean-Jaurès. Quid de Saint-Exupéry où il fait froid dans les salles de classe ? Il faudrait travailler tous ensemble, enseignants, parents d'élèves et élus, afin de créer un climat de confiance. Malheureusement, nous constatons que ce n’est pas le cas : annulation d’un conseil d’école à la dernière minute, interdiction d'accès aux écoles pour les enseignants en dehors du temps scolaire, bref aucune condition favorable au dialogue. La définition du dictionnaire concernant les "administrés" est criante de vérité à Saint-Rémy : “personnes soumises à une autorité administrative”. L'équipe majoritaire peut-elle seule trouver les solutions aux problèmes de la commune ?

 

Facebook @saintremytoujours

www.saintemytoujours.fr

 

 



Tribune Libre SRT de novembre 2020 ...


Toutes les voix s’élèvent, de par le monde, pour prendre conscience de la nécessité impérative de transformer nos modes de vie pour que nos enfants et petits-enfants aient un avenir.

 

A ce titre, parlons d’espaces naturels à Saint-Rémy: en plein “cœur de ville”, des dizaines d’arbres ont été abattus (seulement 2 ont survécu aux tronçonneuses), pendant le confinement et la nidification des oiseaux, une année spéciale où la nature avait l’opportunité de se réparer de nos excès.

 

En parallèle et sur toute la commune, une étude a validé la destruction de 80 arbres soi-disant dangereux, et ce sans choisir le moment opportun malgré les appels de la Ligue de Protection des Oiseaux.

 

Autre mandature, autre temps, autre sujet : résoudre le problème de la circulation en centre-ville en commandant une étude de faisabilité d’une déviation reliant le parking de l’Espace Jean Racine au rond-Point de la route de Versailles, c’est en ignorer les effets collatéraux dommageables pour des décennies.

 

Envisager de créer une voie en plein dans cet écrin de verdure, c’est archaïque, c’est se tourner vers le passé, être sourd aux besoins de nos “futurs” citoyens.

 

Mais avant cela, un autre projet verra le jour et une mission confiée à une agence départementale (l’EPFY) par la ville, vient de lancer une étude de faisabilité : afin de porter financièrement l'acquisition de la parcelle privée jouxtant le “Terrain des Soeurs” par cet organisme public qui pourra ensuite vendre l’ensemble, avec la parcelle municipale, à un promoteur afin d’y construire une cinquantaine de logements (maisons de ville ou petits immeubles) ! 

 

C’est ainsi condamner un des dernier endroit naturel ressourçant du centre-ville, c’est transformer cette magnifique parcelle en square de zone urbaine. Pourquoi a-t-on choisi de vivre à Saint-Rémy plutôt qu’à La Défense si ce n’est pour vivre dans un environnement vert ?

 

A quand des bâtiments à énergie positive et un 1er éco-quartier ? 

 

Sophie MINEC

Jean-Christophe HOUPLAIN

 

Jean-Louis BINICK

 


Mais que c'est il passé à la CCHVC en juillet 2020 lors de l'élection de son Président ?

 

Nous allons ainsi vous raconter une belle histoire sur la démocratie locale dans notre Communauté de Communes de la Haute Vallée de Chevreuse : la CCHVC.

 

Lors du Conseil Communautaire du 10/07/2020, le résultat était connu d’avance. Saint-Rémy-lès-Chevreuse, à travers son maire Dominique Bavoil devait prendre la présidence de la CCHVC. 

2 candidats étaient ainsi en lice, mais à la surprise générale et à la suite d’un changement de majorité au Mesnil Saint-Denis, c’est le maire de Lévis-Saint-Nom, Anne Grignon qui remporte la mise avec 2 voix d’avance.

 

La tradition veut que la ville perdant l’élection se voit attribuer la 1ère vice-présidence de la CCHVC, ce qui aurait été logique étant donné le poids démographique de Saint-Rémy-lès-Chevreuse.

Refus catégorique de notre maire Dominique Bavoil d’accepter le poste, suspension de séance et report du vote pour désigner les vice-présidents au 21/07/2020. Et là, nouvelle surprise, la vice-présidence de la plus grande ville de la CCHVC est laissée à l’opposition du Mesnil-Saint-Denis qui se retrouve ainsi avec 2 vice-présidences !

 

Situation ubuesque, mais pourquoi vous raconter cela ? 

 

Simplement, pour attirer votre attention sur d’autres comportements despotiques peu républicains et peu démocratiques, bien loin d’une gestion participative, ici à Saint-Rémy : suppression du bureau des élus SRT et de leur libre accès en mairie, boites mails élus SRT supprimées ou inaccessibles, boîtes aux lettres des élus SRT séparées de celles des élus majoritaires et déménagées à l'accueil ...

 

La suite sur FaceBook @saintremytoujours, sur Twitter @SRTen2020 ! 

Les élus SRT

Sophie Minec, Jean-Christophe Houplain et Jean-Louis Binick


Destruction Aile Gauche Ecole Jean Jaurès Part II


La Démocratie Locale à Saint-Rémy-lès Chevreuse ...

Rappelez vous la destruction de l'aile gauche de l'école Jean Jaurès sur une décision unilatérale du maire via un arrêté de péril validé par la Préfecture ...

Nous avions simplement demandé de voir l'étude technique justifiant cette destruction en catimini durant l'été 2019 ...
Refus poli du maire, saisie de la Commission d'Accès aux Documents Administratifs et après plus de 6 mois : l'avis FAVORABLE de la CADA !

Nous, Conseillers Municipaux, nous devons donc avoir accès à ce document technique même s'il sera difficile de revenir en arrière ...

Trois options :

1) ce document n'existe pas ... aïe
2) ce document existe et il nous est simplement transmis,
3) ce document existe mais on nous refuse toujours sa publication, la procédure administrative devra se poursuivre afin de connaitre la vérité et en restant vigilant à d'autres destructions de nos bâtiments centenaires (l'Ancienne Poste, ...).



Une nouvelle Démocratie locale à Saint-Rémy-lès-Chevreuse pour l'opposition !


 

 

 

Chers Conseillers Municipaux de la Majorité,

M. Le Préfet des Yvelines,

 

Un rapide message pour vous informer de la situation de la démocratie dans notre belle ville de Saint-Rémy lès Chevreuse,

 

 

 

 

 

 

En 2017, les deux groupes d’opposition se sont vus octroyer :

 

·         un local pour se réunir à leur convenance,

·         des boites aux lettres « courrier » ,

·         des adresse email « mairie » personnalisée,

·         des cartes de visite personnalisées,

·         et surtout un passe leur permettant d’accéder dans l’hôtel de ville afin d’accéder au local et aux boites aux lettres sans vraie restriction.

 

Depuis la mise en place du nouveau conseil municipal en mai 2020, changement total de situation pour l’unique groupe d’opposition :

 

·         les adresses emails ont été déconnectées (sans préavis) et remplacées par des adresses qui ne fonctionnent pas et sans la possibilité de se connecter via Outlook,

·         les boites aux lettres sont descendues à l’accueil et accessibles uniquement aux horaires d’ouverture de la mairie,

·         le local ne semble plus d’actualité, ni les cartes de visites,

·         l’accès à l’hôtel de ville nous est interdit et le passe électronique (déconnecté depuis des mois) nous est réclamé par les services de la ville.

 

Les Organismes extérieurs, les Présidents de Commissions Municipales sont obligés, soit de nous appeler sur nos portables, soit d’utiliser nos emails privés ou professionnels pour nous convoquer aux réunions,

ou mieux encore : nous transmettre les convocations via la Police Municipale.

 

Simple état de fait, je souhaitais néanmoins, Chers Elus de la Majorité et M. Le Préfet, vous informer de la situation, ne cherchant pas valider la légalité ou l’illégalité de ces nouvelles dispositions.

Je vous laisse juger par vous-mêmes.

 

Cordialement.

 

Jean-Louis Binick


Épilogue de la "Bataille des Arbres" ... (article original en cliquant sur la photo)

L’abattage des arbres centenaires crée la polémique dans les Yvelines

 

Une habitante de Saint-Rémy-lès-Chevreuse s’étonne que la ville procède à des coupes pendant le confinement. La mairie plaide la sécurité et le mauvais état des arbres concernés.Saint-Remy-lès-Chevreuse. Près de 200 personnes ont signé la pétition contre l’abattage des arbres. Les arbres, c'est un sujet sensible. Surtout en ce moment à Saint-Rémy-lès-Chevreuse. Depuis quelques jours, une habitante de la ville s'inquiète de la situation de grands tilleuls à l'entrée de la ville, en venant de Versailles. (par Laurent Mauron)

 

« J'ai remarqué, un peu par hasard, qu'ils allaient être abattus. Il est difficile d'accepter en cette période de confinement que de telles décisions puissent être prises sans concertation pour des tilleuls aussi emblématiques », commente Sophie Langrognet. Sa colère est d'autant plus grande que nous sommes en période de nidification. Cette quinquagénaire tente alors d'en savoir plus à la mairie. Mais, ne trouvant pas d'interlocuteurs, elle inonde de mails les responsables municipaux, poses banderoles et affiches dans la ville et déclenche même une pétition qui a recueilli près de 200 signatures à ce jour.

 

L'affaire s'est mise à enfler, à la grande surprise du maire (SE) Dominique Bavoil. « Je ne comprends pas une telle agitation. Cette dame, qui n'a pas le droit d'apposer des banderoles sur l'espace public, nous a écrit mercredi dernier et, même si cela ne se voit pas, nous avons beaucoup d'autres choses à penser avec l'épidémie. Faire ainsi un procès d'intention, c'est déraisonnable en ce moment », s'agace l'élu.

82 arbres sont mal en point et une vingtaine dangereux, selon un diagnostic mis en avant par la mairie

Selon lui, un diagnostic a été établi, fin 2019, par rapport à l'état des 1 444 arbres de la commune. Révélé en janvier dernier dans le bulletin municipal, il indique que 82 d'entre eux sont mal en point et une vingtaine, dangereux. Le sujet a même été évoqué durant la campagne électorale. « Nous avons également voté le budget et décidé avec les entreprises que ce serait plus facile d'agir pour eux en cette période de congés afin de mieux sécuriser les lieux. D'ailleurs, nous veillons à ce que toutes les mesures de sécurité sanitaire soient prises quand ils opèrent », déclare l'élu. Le maire sait que la période de nidification n'est pas la mieux adaptée pour ce type d'opération. « Mais certains arbres sont creux et que dirait-on si l'un d'entre eux tombait sur quelqu'un ? », insiste Dominique Bavoil, qui reconnaît avoir appris « beaucoup de choses » avec ce diagnostic. « J'ai retenu que les arbres ont une certaine durée de vie et peuvent, à la longue, finir par être dangereux. Rien ne dit d'ailleurs qu'on n'en replantera pas » le maire qui a répondu ce mardi à son administrée. « Le fameux tilleul centenaire, dont elle parle, subira un élagage spécifique », précise-t-il encore à l'adresse de Sophie Langrognet.

 


cliquez sur l'image pour découvrir et signer la pétition !




Merci aux 631 électeurs Saint-Rémois qui nous ont fait confiance, le 15 mars 2020.


L'équipe de Saint-Rémy Toujours 2020, une nouvelle façon de co-construire votre Ville : le 15 mars 2020, un seul tour avec 2 listes, SRT2020 contre LORA2020 LREM/LR




Une autre vision de la Démocratie Locale à Saint-Rémy lès Chevreuse ? C'est possible, dès mars 2020 ...



C’est fini pour l’aile de l’école Jean Jaurès : pas d’étude de réhabilitation, pas de présentation en commission d’urbanisme, un simple article dans le bulletin municipal et ... arrêté de péril et le bulldozer ... imaginez votre ville @StRemyChevreuse en 2026 !



96 personnes ont donné leur avis sur le futur aménagement du projet dit "Coeur de Ville" : un alibi pour engager notre Ville de Saint-Rémy lès Chevreuse pendant 30 ou 50 ans ?


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